L’expo « Barbie. The Icon« , elle était vraiment nécessaire?
Bien que aujourd’hui on ne veut pas parler de la qualité des expos que traditionellement se tiennent au Vittoriano à Rome, ou de la bien connue manque d’expositions de qualité à Rome pendant les mois estivales, « Barbie. The Icon » n’a pas été une expo digne de ce nom.
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Rome e Paris. Une comparaison.
Au même temps de l’expo de Rome, à Paris aussi s’en déroule une similaire. Au Musée des Arts Décoratifs. Il est difficile d’avoire des douts à propos du niveau de la version française. Malheureusement je n’ai pas visité le Musée des Arts Décoratifs à cette occasion, mais tout simplement de la comparaison des pages internet officielles des deus sièges, les diffferences sont claires.
Si la section dédiée à l’exposition sur www.lesartsdecoratifs.fr semble être bien faite, au moins pour ce que de la fameuse poupette on veut metre en lumière, www.ilvittoriano.com seulement peu de lignes parlent de l’expo, dont les notions sont similaires à la version française, mais rien à voire sur les contenus.
(dans le video suivant, l’exposition de Paris)
Il pouvait être une expo didactique. Ma elle est completement rose.

Sur le site internet français les textes prises du catalogue officiel sont essentiels pour exemplifier que s’agit d’une exposition non simplement de poupées. Au contraire, l’expo romaine semble vouloir confirmer son essence: exposition pour jeunes filles ou pour femme qui veulent être ados, tout ça avec des robes mousseuses et roses. Aucun effort pour rendre tout un peu plus serieux. Et même les cartels manquent le bout didactique auquel ils sont chargés.
Une icone, un symbole. Un stereotype.
Il pouvait être une bonne occasion pour mettre en lumière tous les aspect d’un symbole, d’une icône que, comme les femmes, au cours des années a changé; une icône devenue un vrai pillier de la culture populaire.
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Mais où est son aspect revolutionnaire? Où son emancipation?
Quand on quitte l’expo, la seule impressione c’est que Barbie a toujour été une simple fashion-addicted.
Toutes les robes de Barbie. Createurs de mode à son service.
À cette époque historique est important communiquer aux génerations les plus jeunes le valeur des femmes. Mais à Rome la femme est tout simplement un être superficiel. Pur elle, le travail ne doit être que drôle et temporaire, parce que son bout c’est d’avoir des robes magnifiques, créations ouvre des styliste les plus connu. Et voilà les noms: Fendi, Gucci, Ralph Lauren, Versace, Diane Von Furstenberg, Moschino, Fendi, Burberry, Karl Lagerfeld…
Et je crois que cette section de l’exposition, si bien contextualisée, pourrait être très interessante, puisque reflexe de l’évolution de la mode. Dans cette façon, Barbie est une icône, capable de mobiliser des artistes universellement connus pour créer ses robes.
Barbie-modèle, Barbie-en-voyage ou Barbie icône pop du XXème siècle, aurait été parfaite pour un musée d’arts décoratifs; car Barbie est un symbole de la culture populaire, et personnages de nombreux entre films, sit-com, livres, chansons…
Barbie e Ken. Une histoire d’amour.
Au contraire, l’expo de Rome ne centre pas le point et, au même temps, mortifie la femme.
Quand on sort de l’exposition, la seule sensation est que Barbie, et la femme de laquelle veut être image, est superficiel, et son seul bout est de se marier avec son amoureux Ken (mais avec la robe de mariage de Kate Middleton, bien sûr!) pour vivre finalement dans une grande et bien équipée maison de campagne, avec un cheval, un camper et un yatch pour les vacances. Toujour avec ses robes marveilleuses.
Exit through the giftshop
Et la poupée qui a changée soi même tandis que les temps ont changé? Celle qui, comme les femmes des années soixante, a réfusé le stereotype de la femme-mère pour choisir une nouvelle histoire pour soi-même? Celle libre de voyager, de choisir son travail? Elle reste à Paris.
À Rome, au contraire, on peut seulement admirer toutes Barbies avec lesquelles on jouait, in ne nous reste que rêver de parteciper aux défilés comme une top-model. On peut aussi oublier une vraie travail (qui est-ce-qui a besoin d’un travail si on va marier le prince William d’Angleterre?). On peut aussi rêver les noces de Grace Kelly!
Et finalement prendre la sortie. Mais n’oubliez de passer pour le gift shop! À cette occasion on peut acheter le catalogue de l’expo (29 euro), tout en reflechissant sur des générations de femmes qui ont lutté pour rendre la femme libre des stereotypes. Cette expo est leur échec.
On n’a pas oublié la musique! Essayez avec « Love me like you do » di Ellie Goulding: est parfaite!
Info:
« Barbie. The Icon » au Vittoriano à Rome jusqu’au 30 octobre 2016. Le tarif d’accès est de 12 euro. Pour toutes informations, cliquer sur ce lien
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